Jacques Azam

Ca commence comme un triste conte où le pauvre héros, Paul, petit être rêveur, timide et peureux est maltraité par sa famille. Qui finit par le vendre à d'affreux brigands contre une pièce d'or, qui le vendent à des pirates pour deux pièces d'or, avant que Petit Paul ne saute par dessus bord et échoue sur une île déserte mais très peuplée.

Et Arnaud Alméras se lâche allègrement dans une histoire loufoque composée d'oxymores soigneusement distillés à tire-larigot ! Ceci pour notre plus grand bonheur tragique. C'est tristement drôle et le dessin délibérément brouillon de Jacques Azam colle parfaitement avec ce texte déjanté.

Un étonnant album banal pour les enfants adultes et même les grands petits.

J'ai adoré lire ce livre à mes enfants et ils ont tout autant adoré l'entendre.



C'est un texte qui en plus de nous avoir fait rire nous a permis de parler des contraires et les enfants ont adoré jouer à repérer les mots qui n'auraient pas du se trouver ensemble (la belle princesse affreuse, l'ogre maigrelet et bien sur...le courageux chevalier très peureux).

L'impitoyable questionneur est un super-héros pas comme les autres. Son pouvoir : vaincre les méchants avec ses questions... et c'est ce qu'il devra faire face à Vildeux le Vilain, un méchant qui a décidé d'effacer tous les livres. Aidé d'Hésitation Man (qui a bien du mal à choisir quelle décision prendre) et de sa fille Sidonie, le combat ne sera pas facile...

A mi chemin entre l'album et la BD, une histoire loufoque et des personnages déjantés qui plairont sans doute aux plus jeunes.

Vous arrive-t-il de fermer un livre avec le sentiment d’avoir été floué de A à Z? C’est ce qui vient de m’arriver. Et j’ai eu beau relire le livre, rien n’y fait. Ma première impression n’a pas changé.



Pourtant, j’aimais l’idée d’un personnage bravant tous les dangers afin de trouver qui était responsable de l’effacement des mots dans les livres, une opération qui prenait chaque jour plus d’ampleur. Oui, j’aimais l’idée. Parce que, pour le reste, L’impitoyable questionneur ne me laissera pas le souvenir d’un livre réussi. Ce serait même plutôt le contraire.



Un vilain qui veut attirer un super-héros chez lui afin qu’il devienne lui aussi un méchant, voilà en gros ce que nous raconte plutôt Arnaud Alméras et que nous montre Jacques Azam, dont les illustrations m’ont vraiment, mais vraiment déplu, tant elles sont laides, voire repoussantes.



Un album à oublier.
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Je vais avoir du mal à parler de cet album jeunesse (et j'espère que les auteurs ou les fans ne vont pas venir me taper sur les doigts) parce qu'à part me souvenir que je l'ai trouvé mauvais et sans intérêt, j'ai du mal à me rappeler de quoi ça parle... Il a fallu que je le feuillette à nouveau pour écrire ce billet...



Paul Martin est « l'Incroyable Questionneur », une sorte de super héros (Mmmh … mais quel est son super pouvoir? Poser des questions...) qui veut découvrir pourquoi les livres s'effacent. Il découvre que ce sont des souris qui effacent les pages des livres avec un rayon. En les suivant, il se retrouve chez le méchant « Vildeux Le Vilain » qui a déjà kidnappé « Hésitation Man » (Pourquoi donc? Parce que franchement, ils ne sont pas très impressionnants ces deux super héros...) Ils sont sauvés par la fille de l'Impitoyable Questionneur...



Si vous avez l'impression que ça n'a ni queue ni tête et qu'aucune histoire n'est approfondie : vous avez raison et c'est exactement le problème de cet album...



L'autre problème c'est que je n'ai pas non plus aimé les dessins qui sont très brouillons.



Je ne saurais dire à quelle tranche d'âge correspond cet album mais je pense que les CM2-6ème sont trop grands... Mais peut-être qu'il y a du second degré qui plairait plus aux adultes (le copain d'une collègue a adoré)...



Bref, lisez-le pour vous faire votre propre opinion ;-) mais j'aimerai bien lire un avis d'enfant!
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Pas mal !



La première partie prend la forme d'un journal intime fictif dans lequel Pauline, une jeune collégienne, raconte son quotidien et ses expériences liées à la drogue. J'avoue que j'ai parfois eu du mal à rester concentrée, je trouvais l'écriture un peu niaise, ce qui destine le livre, ici, à des plus jeunes élèves (6e-5e).



En seconde partie, les tranches de vie racontées par Pauline (les interventions des associations, son camarade drogué, le dealer du quartier, la première cuite...) sont mises en perspective avec un apport + théorique. Néanmoins, l'auteur manie l'humour et surtout l'ironie (antiphrases), essaye de ne pas faire trop père-la-morale, et du coup, il faut s'assurer que les lecteurs comprennent bien l'ironie de certaines pages, et ne croient pas qu'on les encourage à se droguer ! Donc, contrairement à la première partie qui est plus adaptée à des 6e-5e, la seconde partie s'adresse plutôt à des 4e-3e... Compliqué tout ça...



Aussi, j'ai trouvé que le sujet de l'alcool était complètement survolé et minimisé, je suis très déçue voire un peu dérangée par la banalisation que j'y ai senti. Je recommande d'acheter un ouvrage dédié à l'alcool car celui-là n'effleure qu'à peine le sujet.

ce livre est génial, il est fait pour ceux qui aime le football. J'ai aimé ce livre parce que je suis fan du football. Le personnage principale est Antoine Lebic

Proposé à mes élèves tous les ans, soit en lecture collective ou en accès libre à la bibliothèque. Il a toujours du succès même pour ceux qui ne sont pas fan de foot. Il faut dire que les jeunes footballeurs en prennent pour leur grade.

Accessible de la fin du CE1 au CM2.

Antoine et ses copains disputent le championnat entre écoles. Un match particulièrement catastrophique va les amener à revoir leur manière d'appréhender le footballl... Après cette déconfiture, nos jeunes élèves sont prêts à tout pour remporter la prochaine rencontrematch, à commencer par se donner des surnoms pour faire trembler de peur leurs prochains adversaires...



Beaucoup de plaisir dans la lecture de ce livre à l'atmosphère digne du petit Nicolas. L'humour est omniprésent et l'amitié est au centre de cette aventure. On y parle de compétition, de règles à respecter (encore faut-il les connaître...) mais aussi de psychologie et d'efforts. Il est évident que l'auteur a pris beaucoup de plaisir à nous conter cette histoire, et ça marche !





Un livre de la collection "la vie héroïque d'Antoine Lebic" que je ne connaissais pas et qui sort en poche. A cette occasion, on trouve en bonus "le guide du super super supporter" qui ne manquera pas d'être très utile dans les mois à venir...Ce tome est la troisième aventure du héros mais il peut se lire indépendamment. A suivre...


Lien : http://cdilumiere.over-blog...

Un bon documentaire pour réfléchir sur la nature et la pollution.

Des petits textes humoristiques et simples pour mieux comprendre la nature.



Je vous le recommande, il se lit vite et est très instructif. En plus, ça donne envie d'organiser des débats et on peut noter ses idées à la fin.



En plus, il y a des illustrations très rigolotes!!!

J'ai bien aimé ce livre qui parle de la nature donc beaucoup de l'écologie mais aussi de la pollution visuelle ( par exemple des bâtiments gris pas forcément faits de manière pas écologique , mais qui peuvent gâcher les vues naturelles) . Il parle aussi des méthodes trop radicales . Je n'ai pas mis cinq car je ne suis pas toujours d'accord avec les auteurs ( je suis plus mitigé sur le sujet des voyages en avion ) mais je peux comprendre qu'on approfondisse pas dans un livre pour préadolescent

J'ai moins aimé ce livre . Bien qu'ils rappellent que la richesse et la pauvreté c'est pas seulement pécunier ( dire " oh le pauvre " quand quelqu'un s'est blessé) , je l'ai trouvé assez peu approfondi sur le plan pécunier et certains passages j'avais l'impression de lire un playdoyer contre la répartition des richesses ce qui me semble pas à sa place dans un livre pour préadolescents.

Les thèmes abordés sont très intéressants et expliqués d'une manière simple qui laisse bien ouvert la pesée personnelle de l'enfant. Il pousse ce dernier a se poser des questions sur sa façon d’agir et surtout pourquoi. Abordés sous plusieurs thèmes tel le bien le mal, les religions ou encore la vie, cet ouvrage propose aussi des petites illustrations humoristiques du meilleur effet chez les plus jeunes. Destinés aux enfants dès la 6ème.

J’aimais beaucoup le dessin animé Mandarine and cow étant petite et je suis tombée sur cette bd à la médiathèque, j’ai voulu tenter.

Le graphisme très simpliste que je n’aime pas d’habitude ne m’a pas déranger cette fois. J’ai moins aimé le fond des histoires, je pense qu’il est plutôt adapté à un public jeune.

Une BD très sympa, reçue dans le cadre de Masse critique. Je connaissais l'adaptation en dessin animé et me réjouissais donc à l'avance de plonger dans l'univers déjanté de la famille Mandarine et de sa vache de compagnie. La vache est complétement égocentrique, les enfants ne sont pas les derniers quand il s'agit de faire des bêtises, la mère invente chaque jour des appareils les plus farfelus et le père n'est jamais là, sa présence se limitant à des appels téléphoniques.

C'est une BD que l'on peut lire à tout âge, à partir de 7 ou 8 ans, car il s'agit de gags qui tiennent pour la plupart en une page. Un très bon moment de lecture-détente!

J’ai découvert cette série pour la première fois par hasard sous forme de dessin animé. C’est plus tard que j’ai su qu’il s’agissait d’une adaptation. Le dessin est assez crade, destroy, l’histoire assez dingue, La maman Mandarine bricole façon “Docteur Moreau” dans son labo pendant que les enfants sont collés devant la télé à regarder des films pas forcément de leur âge. Ils adoptent une vache, en appartement, et la maman, avec ses expériences bizarres, va lui donner la parole. Le père est toujours en voyage et n’existe qu’à travers le téléphone, Lulu, la fille est obsédée par l’aspirateur, la vache ne pense qu’à boire du jus d’orange, et Chico fait ce qu’il peut dans tous ce bazar.

Ce que j’aime dans cette bande dessinée pour la jeunesse, c’est que c’est complètement déjanté, humour noir, absurde, loufoque et parfois burlesque, sans retenue, ça va parfois très loin, souvent là où on ne l’attend pas, sans la moindre vulgarité, c’est du Fluide Glacial pour les petits. Totalement perché !

Comme d'autres personnes, j'ai découvert Mandarine and cow par son adaptation en dessin animé (un peu trop criard et bruyant pour moi). Lorsque j'ai vu qu'il apparaissait dans la liste de la Mase critique, je me suis dit que ce serait une bonne idée de découvrir la version originale en bande dessinée. J’en profite pour remercier sincèrement Masse critique et les Editions Bayard Jeunesse de leur confiance.

Même si l’ensemble des sketches est inégal, je me suis beaucoup amusée soit parce que c’est complètement déjanté, soit parce que j’ai trouvé les tranches de vies familiales très pertinentes. J’ai adoré voir la vache recevoir une tenue de plongée pour roucouler avec son amour d’otarie (hilarant) ou l’attente désespérée de lulu devant la salle de bain (cela parle beaucoup aux grandes familles ou à celles qui ont des ados). Je suis moins fan des élucubrations écolo de la maman. Par contre, la présence un peu spéciale du Papa à travers le sacro saint téléphone est très juste des dérives de nos sociétés modernes. Au final, je n’ai pas trouvé que le personnage de la vache soit un plus : si certains sketchs sont sympathiques, j’ai trouvé que les différents membres de la famille sont plus complexes, plus intéressants et plus drôles. Le graphisme est sympa, le coup de crayon vivant et imagé, les personnages très expressifs. Par contre, j’ai trouvé que le format était parfois trop petit (mais au demeurant facile à prendre en main), ce qui est dommage au vu du travail du dessinateur.

Un bon moment de lecture pour s’amuser.

Un déluge de sketches en une ou deux planches, mettant en scène ce petit monde un peu loufdingue, orchestré par Jacques Azam (Chico Mandarine) et qui ravira les fans de la série.
Lien : http://www.bdencre.com/2013/..

Merci aux Editions Bayard/Milan et à Babelio pour son action Masse Critique spécial BD, pour cette découverte guidée par mon fils Luka de 8 ans 1/2.

L'éditeur signale que la BD est à partir de 7 ans, je trouve qu'elle s'adresse plus particulièrement aux 9/13.



Mon petit bonhomme a adoré la lecture, il est vrai qu'il connaissait déjà les personnages car la famille Mandarine est publiée dans le mensuel D-Lire, et un dessin animé existe également.



La famille Mandarine, une bien drôle de famille que celle-là. Allez, je vous la présente :



- La mère : madame Mandarine, mère au foyer, inventrice ; attention cela va de la machine à télé porter la fondue savoyarde, au recycleur de déchets en poubelle, au super miroir magique high tech, et j'en passe , des inventions très très particulières.



- Le père : monsieur Mandarine, jamais là, toujours en voyage, il est représenté par un téléphone portable et sa présence n'est d'ailleurs que téléphonique.



- Les enfants : lulu et Chico

bien entendu, un animal de compagnie pas comme les autres : la vache. Une vache excentrique, amoureuse, gaffeuse à qui il arrive plein d'aventures avec entre autre ses amis du zoo.





Il s'agit d'une série de petits gags d'une à 2 pages. C'est sympa, décalé, loufoque parfois avec un humour acide , pas toujours simple à comprendre où alors je n'ai pas ce type d'humour mais c'était une lecture sympa et un bon moment de détente.




Lien : http://nathavh49.blogspot.be..

Une histoire sans parole rigolote, racontant les péripéties de Ringo qui doit livrer un pizza dans la forêt. La pizza n'arrivera pas entière, loin de là...