Dans la chambre, il voit une blouse de Pauline sur le lit, ses souliers jetés au milieu de la pièce, son peigne avec quelques cheveux enroulés. On sent un parfum d'iris, la chaleur odorante du feu de bois dans le poêle de faïence et comme un silence animé, caressant, une présence féminine en suspens dans l'air. Il se dit: "J'habite chez une femme. Je ne suis pas chez moi, ici. Elle est toute la maison."