J’ai interrogé, écouté des défenseurs du terrorisme et des tortionnaires. Des hommes sans doute braves dans tous les sens du terme, qui s’inquiétaient quand leurs gosses avaient la grippe, mais vous racontaient sans frémir comment, en Indochine leur section mettait à feu un village supposé hostile, tirait sur tout ce qui s’enfuyait et celui qui avait le moins tué était condamné à payer l’apéro.