Pour moi, il me paraît sensible que l’Autre, avancé au temps de l’Instance de la lettre comme lieu de la parole, était une façon, je ne peux pas dire de laïciser, mais d’exorciser le bon vieux Dieu. Après tout, il y a bien des gens qui me font compliment d’avoir su poser dans un de mes derniers séminaires que Dieu n’existait pas. Evidemment, ils entendent -ils entendent mais hélas, ils comprennent, et ce qu’ils comprennent est un peu précipité.
Je m’en vais peut-être plutôt vous montrer aujourd’hui en quoi justement il existe, ce bon vieux Dieu.