Jacques Le Rider

Le germaniste Jacques Le Rider propose un modèle du genre. L’ouvrage passe certes un peu vite sur la vie privée de l’homme, qui n’est pourtant pas sans lien avec l’écriture, et tend à devenir un commentaire de texte de la revue Die Fackel (« la torche » ou « le flambeau »), créée en 1899 et rédigée intégralement par Kraus à partir de 1912. Mais, pour qui aime mettre ses certitudes – y compris « subversives » – à l’épreuve, il se révèle décapant.
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..

Jacques Le Rider consacre un essai aux grands esprits de la capitale autrichienne, de Mahler à Freud en passant par Zweig. Et à la haine que leurs compatriotes leur ont vouée.
Lien : http://rss.nouvelobs.com/c/3..

Ce livre est un cadeau reçu d’une personne qui m’aimait sans doute beaucoup. Beaucoup, vu le prix de ce livre. de cet excellent livre, un livre fait par des érudits pour des apprentis-érudits. On y trouve des personnages historiques, littéraires, artistiques…. non seulement de l’Allemagne mais pas seulement : Kafka par exemple n’était pas allemand, mais écrivait en allemand et c’est pour quoi il a sa place dans ce dictionnaire.

Un tableau saisissant et érudit de la diversité des modes d’expression de l’identité juive chez les intellectuels viennois de la Belle Époque.


Lien : http://www.nonfiction.fr/art..

Jacques Le Rider, germaniste et grand spécialiste de la Mitteleuropa (l'Europe centrale), scrute l'envers du décor de cette Vienne impériale de la Belle Epoque qui lance et relance cette étrange et inquiétante question de la judéité, cette sempiternelle dialectique du même et de l'autre.
Lien : http://rss.feedsportal.com/c..

En publiant simultanément la biographie de Fritz Mauthner et la traduction de l'un de ses essais, Jacques Le Rider invite à la redécouverte d'un penseur injustement oublié.


Lien : http://www.nonfiction.fr/art..