Maintenant que mon opinion est faite, je puis n'en plus avoir souci. Je peux enfin m’asseoir, et, résigné comme l'enfant prisonnier d'une chambre, m'amuser avec les décalcomanies qui m'ont été laissées. Je veux dire que, las et vieilli, je peux accepter que tout ne soit qu'images ou songes, et tenter de m'y complaire.