...le succès d’un mot et sa durée, surtout sur le plan international, tiennent à des facteurs impondérables, et plus encore imprévisibles. Le prestige d’une exposition, l’autorité d’un critique, l’audience d’un livre suffisent pour changer la fortune d’un mot. Nous avons dit que l’historien doit parfois s’intéresser au présent : il ne doit ni ne peut faire de prédiction.