Jacques de Saint Paul

Un récit heureusement fort court car très peu crédible et qui exploite plusieurs des clichés éculés sur les mœurs dissolues de la Cour de France au temps des derniers Valois.



1589 : quelques intrigues de couloir - parmi lesquelles le complot visant à assassiner Henri III - sont prétexte à peindre quelques tableaux impudiques sans vraie originalité.



Inutile de développer, c'est assez de temps consacré à ce fade petit roman, plus propre à exacerber les nerfs que les sens.

Un roman érotique qui réussit à exploiter l'univers du marquis de Sade sans tomber dans le plagiat, c'est à saluer.



Un roman érotique qui réussit à faire sourire sans pour autant prêter à rire, c'est un exploit.



Un roman érotique qui présente un personnage principal masculin quasi attachant malgré ses frasques, c'est quasiment un prodige.



Un roman érotique qui réunit de jolis tableaux, de l'humour, un pointe d'histoire, de la sensualité et une vraie trame, c'est un bon moment et une bonne note.

Marianne, jeune Méridionale, quitte le Midi pour se lancer dans une quête qu’elle n’imagine pas encore initiatique : retrouver la trace de sa mère, courtisane l’ayant confiée toute jeune aux soins d’une nourrice loin de Paris où elle réside, et surtout celle de son père supposé, un écrivain qui doit davantage sa notoriété à sa vie dissolue qu’à ses écrits : le sulfureux Nicolas Edme Restif de La Bretonne.



Dès le début de son long voyage qui doit la mener vers ses géniteurs, Marianne va être confrontée à la brutalité des hommes de son temps. Nous sommes en plein XVIIIème siècle et, en ce temps-là, une jeune femme qui entreprend de traverser seule la France dans le fourgon d’un charretier est soit totalement ingénue, soit très peu attachée à sa « vertu ». Marianne est les deux. Enfin, pour être tout à fait exacte, elle est d'abord innocente et va très vite découvrir que ses charmes constituent sans doute son seul moyen, sa seule monnaie d’échange et sa seule possibilité d’avancer sur sa route.



Sous le pseudonyme de Jacques de Saint Paul se dissimulent plusieurs plumes spécialisées dans la littérature érotique au talent très inégal. Les mésaventures de Marianne ne sont pas désagréables à lire mais lassent rapidement par leur prévisibilité. Que le lecteur ne cherche pas ici la véracité de faits historiques, il y perdrait son temps !

En cette période de pandémie générale, faute de n'ayant pas encore rencontré la mort, j'ai décidé par dérision de me frotter à la petite, ce qui vous me l'accorderez ne fait de mal à personne.

Je dois reconnaître que je n'ai pas visé très haut du point de vue littéraire, mais qu'importe le flacon pourvu qu'on ait la fesse.

Ce livre remplit amplement le cahier des charges, souvent à la hussarde, dont les protagonistes forniquent, gamahuchent et jouissent sans modération.

Cécile sous prétexte d'écrire un roman s'embarque à bord d'un camion 38 tonnes avec un routier plus que sympa qui va la conduire aux portes d'Istanbul (et du plaisir).

Tout est prétexte pour faire la bête à deux dos au gré des rencontres et la température ambiante incite la voyageuse à se dévêtir encore davantage quand le goudron se met à fondre.

L'auteur multipliant les métaphores lexicales pour ne pas se répéter fait preuve d'une imagination débordante qui frise le comique malgré lui et m'incite à la mansuétude au moment de la notation malgré le trop-plein.

Ce livre est une curiosité (il semble qu'il en existe toute une déclinaison) qui fait partie des séries Z parmi les romans de gare.

Réservé aux adultes.

il est avocat, elle enseignante, marié...mais a la monotonie ils préfèrent les plaisirs des

découvertes du des rencontres, seul ou ensemble.une bonne histoire joliment coquine,qui se li facilement. c'est plutôt bon enfant, ici pas de pratiques sm, mais plutôt érotiques, et de fessés a la main. mais il y a aussi des situations cocasses . 👍

Le site me donne "auteur inconnu" alors que moi j'ai Jacques de saint Paul

Quelqu'un a t'il une info?