Son entrain à se laisser besogner par tous ceux qui payaient faisait la joie et la fortune de son père, aussi ne consacrait-elle son énergie à rien d’autre.
La mère, quant à elle, n’avait jamais eu l’idée de se rebeller. Elle acceptait son lot quotidien de labeur et de violence comme une fatalité, sans avoir osé supposer qu’elle aurait pu mener une autre vie.