Tu es à moi, ma chérie, à moi ! Je t'aime. Tout ce que j'ai écrit plus haut est seulement un moment ou deux de folie brutale. La dernière goutte de sperme a à peine jailli dans ton con que c'est fini et que mon sincère amour pour toi, l'amour de mes poèmes, l'amour de mes yeux pour la séduction de tes yeux étranges, vient souffler sur mon âme comme un vent chargé d'épices. Ma bitte est encore brûlante et raide et vibrante de la dernière poussée brutale qu'elle t'a donnée, que l'on entend s'élever les frêles accents d'un hymne d'adoration, tendre et pitoyable, adressé à toi, montant des sombres cloîtres de mon coeur.
Nora, ma chérie fidèle, ma petite écolière polissonne aux doux yeux, sois ma putain, ma maîtresse. (...)