Mais moi, je dors avec Molly Robicheaux, me dis-je en moi-même. Je dors imprégné de sa bonté, dans l'odeur de sa chevelure, la chaleur de sa peau quand je caresse sa croupe et embrasse les chairs dodues de ses flancs. Je dors au coeur du parfum fleuri qu'elle laisse sur l'oreiller. Que le diable laisse donc ses tigres rôder dans la cour au milieu des ombres