2. James Sacré
Le cœur, la pensée calés
Dans le confort de ton poème.
Quelle brillance d’une vie passée
Crois-tu saisir
En seulement quelques mots, quel présent soudain
Qui en serait plus vif ?
Le sourire la main qui t’ont parlé
Ne sont plus que de minuscules grains de quartz
ou de mica
Dans le sable du temps.