Je destinais tout l’argent que je pouvais amasser à l’achat de livres, essentiellement de la poésie persane classique, mais aussi des romans européens du XIXe siècle que lisaient mes frères et leurs camarades. Pouran aimait lire, elle aussi, et pendant un certain temps, nous mettions notre argent de poche en commun pour acheter des livres que nous partagions.