Il avait subordonné sa vie à la littérature; ses amitiés, ses intérêts, ses ambitions, son avancement professionnel ou l'amélioration de ses finances, ses sorties dans la journée ou la soirée, tout s'était vu relégué au bénéfice de celle-ci. (...)
Il considérait que la littérature est une maîtresse possessive. (p. 9-10)