Le sergent vient d’avoir quarante-cinq ans, mais il ne les fait pas. Il est habillé d’un jean moulant et d’une chemise à carreaux qui souligne ses biceps et ses pectoraux et, sous un crâne sans cheveux, ses yeux bleus, francs et clairs observent le massacre avec un mélange d’incrédulité et de dégoût.
(page 17)