De la boîte à gants de la voiture, j’ai sorti un compact des Quatre derniers lieders de Richard Strauss. La version d’Elisabeth Schwartzkopf avec le Philarmonia Orchestra dirigée par Otto Àckermann. La meilleure selon moi. Oû avais-je lu un jour à ce sujet que cette version était “définitive” et qu’il s’agissait là d’un disque pour l’éternité?
Le temps s’est tout à coup figé. Je roulais au pas mais je ne m’en rendais pas compte. Et je n’entendais même plus le vacarme des voitures, les millions, les milliards de bruits de la ville.