Depuis longtemps les plantations de marijuana ne suffisaient plus à atténuer la misère et on avait beau sacrifier des taureaux, le maïs et le bétail de Cerocachi n'avaient plus rien de concurrentiel. L'agriculture familiale de la Sierra Madre ne pesait plus face aux arrangements économiques mondiaux auxquels personne là-haut ne comprenait rien, le maire karateka pas plus que les autres.