𝔻𝕒𝕟𝕤 𝕔𝕖𝕥 𝕚𝕟𝕔𝕠𝕟𝕗𝕠𝕣𝕥, 𝕞𝕠𝕟 𝕖𝕟𝕗𝕒𝕟𝕥 𝕔𝕒𝕡𝕣𝕚𝕔𝕚𝕖𝕦𝕩 𝕖𝕥 𝕞𝕠𝕚-𝕞ê𝕞𝕖 é𝕥𝕚𝕠𝕟𝕤 𝕖𝕟 𝕥𝕣𝕒𝕚𝕟 𝕕’𝕒𝕡𝕡𝕣𝕖𝕟𝕕𝕣𝕖 𝕦𝕟 𝕟𝕠𝕦𝕧𝕖𝕒𝕦 𝕡𝕣𝕚𝕟𝕔𝕚𝕡𝕖 𝕕𝕖 𝕝𝕒 𝕡𝕒𝕣𝕥 𝕕𝕖 𝕞𝕒 𝕘𝕣𝕒𝕟𝕕-𝕞è𝕣𝕖 : 𝕝𝕖 𝕔𝕠𝕦𝕣𝕒𝕘𝕖 ! ℂ𝕖𝕝𝕦𝕚-𝕝à 𝕞ê𝕞𝕖 𝕢𝕦𝕚 𝕟𝕠𝕦𝕤 𝕖𝕟𝕤𝕖𝕚𝕘𝕟𝕖 à 𝕞𝕠𝕦𝕣𝕚𝕣 à 𝕥𝕣𝕒𝕧𝕖𝕣𝕤 𝕝𝕒 𝕞𝕠𝕣𝕥 𝕕𝕖 𝕝’𝕒𝕦𝕥𝕣𝕖 𝕖𝕥 à 𝕔𝕠𝕟𝕥𝕚𝕟𝕦𝕖𝕣 𝕟é𝕒𝕟𝕞𝕠𝕚𝕟𝕤 à 𝕧𝕚𝕧𝕣𝕖.
La bien-pensance qui trop souvent coupe la parole, interdit les choses ou assure de penser droit, avait eu tort sur cet amour sincère. Parfois, il faut savoir contempler le monde qui nous entoure d’une manière détachée, car dès qu’on le regarde les yeux fermés, il s’arrête aussitôt de nous oppresser. La vie c’est pragmatique, c’est du sur mesure pour chacun.
Mais quelle contingence ! Quel aléa ! Du pur hasard dirait-on. Le hasard, ce mot indéfinissable et qui permet de dire tout. Ce mot que certains emploient pour dire qu’il est partout et que d’autres utilisent pour dire qu’il est nulle part. Le hasard, cette puissance floue qui nous cache les causes et nous plonge dans l’ignorance. Le hasard, celui-là même que l’on trouve alors qu’on ne le cherchait pas, que l’on rencontre sans que ce fut un objectif.
Il avait compris avec le temps et l'expérience qu'il n'y a pas de plus grande sagesse que la bonté et de plus grand honneur que le travail.
On peut trouver du beau dans tout, pourvu qu'on se soit fait des yeux sensibles aux merveilles
La vie a la couleur qu'on lui donne ; et pour Christiane, elle était des plus noires.
Si la géographie et l’histoire se construisent sur les aspirations des hommes, l’humanité quant à elle, repose sur celles des femmes.
Le savoir-vivre c’est l’art de faire autant que de plaire. Quiconque sait la façon élégante et universelle de faire les choses s’ouvre les portes de bien des mondes.
Souffrir sans se plaindre et mourir sans mentir est l’honneur des grands hommes.
La joie du moment fut dépassée par la fierté d’avoir une sœur et elle-même par la surprise de son prénom. Je l’avais baptisée ; c’est moi qui avait offert le prénom Pauline à ma sœur. Cette annonce m’emplissait de bonheur. Le bonheur c’est quand on vit ce qu’on espérait vivre, lorsque les choses permettent une adéquation entre ce qu’on ressent et ce qu’on désire. C’est court mais c’est bon le bonheur.
Alors, pour nous réconcilier de la mensongère fâcherie, elle m’embrassait immédiatement avec la plus grande sincérité. Moi, je feignais de vouloir me débarrasser d’elle, mais à vrai dire, je me régalais beaucoup. Ces baisers furent sur ma peau, des tatouages invisibles ; et les yeux fermés, je pouvais encore me souvenir de la sensation, du toucher, du claquement ou de l’humidité de sa bouche.
L’Homme est un animal de rites et de passions