Chaque fois q'une date de bataille était situé au printemps ou en été, il l'imaginait comme une agréable partie de campagne, guillerette et peu sérieuse. Il ne parvenait pas à croire que la mort pût être donnée parmi les fleurs et sur des prés vert tendre. Quand il était militaire, il s'était toujours senti en sécurité avec l'arrivée des beaux jours. Il avait fallu qu'un de ses camarades soit touché par une balle en plein mois de juin et qu'il le voie allongé de tout son long sous un bosquet d'aubépines blanches, pour qu'il se rende compte du ridicule de son opinion.