Il voulait savoir deux choses : où en était l’enquête et comment cela se passait avec monsieur Salvyen. Quand Coralie lui dit (mais il l’avait déjà appris par le lieutenant Fusarolle) que le prêtre ne s’était pas suicidé mais qu’il avait été assassiné, il marqua son mécontentement, non tant à cause de la mort d’un homme, fût-il un homme d’Église, mais parce qu’Apollinaire Salvyen s’attarderait davantage dans le commissariat, en tout cas plus longtemps que s’il s’était agi d’un suicide.