Terre profane.
Le Voyageur s’égare,
pieds nus et pauvre,
dans les chemins de cendre
des brasiers de la Saint-Jean.
II
Solstice cruel.
Midi appelle au repos,
au plein silence,
et minuit à la folie,
à l’illisible raison.
III
Cycle des heures
passionné des désastres
où l’air torride
irrigue l’ombre, l’arme
des larmes des astres bleus.
p.61-62-63