Les klepssidra se trouvaient comme les incroyants devant le pari de Pascal : où se présenter de toute façon, ou bien faire le pari que le coup n'avait pas marqué, mais risquer une mort terrible.
Leur farouche volonté de vivre les amenait en général, à jouer quitte ou double, ce qui augmentait encore la crainte de devenir klepssidra et donc d'être frappé au visage.