Le vent éparpille le bruit des clochettes comme des gouttes d’eau. Le côté gauche du bois est comme d’un coup tout effondré et c’est un val. Un chemin ouvre sa bouche au ras de la route. Il a dû ramper à travers bois et monter, et s’enlacer pour venir jusque-là. Il est mort. Il est tout vert d’herbe. On le voit immobile, allongé sous les chênes. Les feuilles se collent sur lui, les herbes poussent à travers lui comme à travers un serpent mort. (p. 9)