La perfection, je le sais, n’est pas de ce monde, mais dès qu’on entre dans ce monde, dès qu’on accepte d’y faire figure, on est tenté par le démon le plus subtil, celui qui vous souffle à l’oreille :
Puisque tu vis, pourquoi ne pas vivre ? Pourquoi ne pas obtenir le meilleur ?
Alors ce sont les courses, les voyages…
Mais quels beaux instants que ceux où le désir est près d’être satisfait.