La finalité de la réflexion politique n'est-elle pas, précisément, de restituer sa dimension éthique à une société qui oublie que le progrès réside dans l'adaptation de la technique à l'Homme, et non dans la soumission de l'Homme à la technique ?L'évolution réclamée -et nécessaire- des idéologies ne dépendra-t-elle pas de cette prise de conscience ?