Mes bourreaux aiguisent leurs couteaux, dressent leur potence et se réjouissent de mon supplice. Je les imagine autour de moi, jappant, montrant les crocs pareils à des chiens de meute forçant un cerf. S'ils savaient comme j'attends ce moment ! Tous les tourments que vous m'infligerez ne seront rien à côté de ceux que j'ai déjà subi.