« Je comprenais la peine énorme de mon père. Il s’était forgé avec elle , il avait dû composer avec la déflagration originelle. Elle le constituait . La vérité d’un homme, ce peut être aussi sa souffrance .Mais même si elle était insoluble, insécable, jamais partagée, elle pesait sur moi par contrecoup . Ce poids de mémoire close était devenu le mien. J’en restais meurtri , dépossédé de ma propre histoire .... »