Le lait n’a pas été source de tels drames. Bien que très ancienne, son histoire fut discrète, plus que ne le fut celle du vin ou de la viande, associés aux fêtes et aux festins, à la force et à la virilité, aux adultes plutôt de sexe masculin. La consommation de lait étant prioritairement réservée aux jeunes enfants et, très accessoirement, aux vieillards, ne provoqua que peu de fantasmes.