Dans l’une des pages les plus célèbres de son livre, la fameuse « symphonie des fromages », Zola décrit une opulence nauséabonde, témoignant de l’appétit des Parisiens, acceptant, pour le satisfaire, des puanteurs trouvant leurs origines dans le manque de fraîcheur plus que dans les arômes de terroir, on est sans doute loin du fameux « puant macéré du Nord ».