Dans ce récit il n'est pas mentionné que les sorcières en mal de sabbat enduisaient l'extrémité d'un manche à balai de leur onguent puis se l'introduisaient dans le vagin. On sait aujourd'hui que la scopolamine contenue dans une mixture engendre une sorte de délire ou l'on se sent emporté dans les airs [...] (p.118)