Ce qu'il y a de bon et de plus précieux en ce monde, qui pourtant est le plus commun et le moins rare, ne nous appartient pas ! Il nous appartient en revanche de le conserver jalousement comme un trésor, comme le patrimoine collectif inviolable de l'humanité. Telle est la mission qui nous est confiée. Nous l'avons hérité de nos parents et des parents de nos parents, il revient de nous en acquitter afin de transmettre à nos enfants et aux enfants de nos enfants notre maison commune, la terre, en bon état : propre, bien soignée, correctement vêtue.
Telle qu'on puisse encore dire avec le poète :
Ô Terre, mon pays bien-aimé !
(fin de l'avant-propos de Jean-Marie Pelt)