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Je voudrais pouvoir dire, à l’heure de mourir- et si possible d’une voix bien audible- que j’ai passionnément aimé ce monde, cette vie et mes semblables et que je ne regrette pas de n’avoir pu emprunter d’autres chemins ! N’est-ce pas ce que pourrait faire de mieux le poème : affirmer l’unité et la beauté de notre vie terrestre, plutôt que remâcher dans l’encre un goût de cendre ?
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