Je n'ai pas de sympathie particulière pour les bonnes soeurs, principalement celles, les plus nombreuses, qui n'ont pas succombé à la foi mais à leurs complexes, physiques, moraux, héréditaires, poussées au couvent par leur face camuse, leur oeil bigle, leur nez pointu, leur bec-de-lièvre, leur petite taille, leur moustache, et se sont accrochées à cet état de vie latente, embryonnaire, finissant par s'y complaire, y subissant le charme équivoque du masochisme, y goûtant des plaisirs rares et soi-disant plus subtils...