Pour essayer de contrebalancer les effets de cette éducation tâtonnante, le duo m'inscrivit évidemment au collège des pères jésuites de Caousou, à Toulouse. Ils espéraient secrètement que, sous l'influence de ces pédagogues réputés intransigeants, je deviendrais un adolescent travailleur, polyglotte et musclé. Au lieu de quoi, les corbeaux de luxe firent de moi un latiniste occasionnel, un dilettante perpétuel et un athée décontracté.