Nous abîmez alors dans la louange…
Extrait 3
En silence le vase identifie la salle
Et les murs sont ténèbres et vastes et vénéneux,
L’air a cette moiteur des robes en été
(Irrespirables et douces)
Et quelle effroi d’avoir opté pour l’infante,
D’avoir neigé pour elle,
Et de l’avoir lavé avec l’eau des sources domestiques.
Nous sommes en vos bras, grand favori, grand échanson,
Celui qui tend les bras et déchire la robe.