Difficile d'échapper à l'exaltation. On attend beaucoup de Stendhal lors de son premier voyage à Venise en 1813. On va se régaler. Cette ville est tellement faite pour lui. Eh bien, il n'y arrive pas. Rien. À sec. Impossible pour lui de la décrire : "Il ne me vient que des superlatifs sans grâce qui ne peignent rien à qui n'a pas vu.