Dans not’pays, on est tous comme ça, on aime bien se raconter des histoires. C’est un genre que nos gens s’donnent. Une fierté, m’est avis. Une manière d’se moquer des étrangers. Parce que le cultivateur, et le paysan d’une manière générale, poursuivit-il d’un ton docte, n’est guère considéré par les gens de la ville.