Je pourrais passer des heures comme ça, accoudée au parapet, à regarder l'océan qui recule et qui avance.
Le toubib avait raison.
L'océan calme.
Vous le regardez, il est immuable.
Et vous sentez l'immensité du monde, vous sentez que vous n'êtes qu'une poussière dans l'univers et que, en fin de compte, tout ça n'a pas beaucoup d'importance.