Si les gobelins avaient investi la place-forte au cours de l’hiver, la situation devait être effroyable. Des mois durant, nains et gobelins avaient pu se livrer à une guerre de taupes, en creusant mines et contre-mines; Weorburgh n’était sans doute plus qu’un champ de décombres où l’on s’entretuait à coups de rivelaine, de pic, d’éboulements et d’inondations.