Peu à peu, en l’absence de sollicitations extérieures, mon imagination commence à dépérir. Je m’affaisse, je ne suis plus qu’un vide, une absence. Je ne suis plus vraiment moi-même, mais étais-je encore moi-même depuis le drame ? Je suis devenu un état de léthargie impersonnelle. Plus rien ne me porte vers le monde extérieur.