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Critiques de Jean-Robert Léonidas (9)
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Comme un arbre planté dans le jardin du bon D..

Jasmine est née à Haïti. Elle a été adoptée à 3 ans par un couple de Français aisés qui lui ont offert amour, protection et avenir tout tracé. À la mort de ses parents adoptifs, Jasmine décide de faire le voyage à la recherche de ses racines, dans ce territoire qu’elle ne connaît pas, battu par les vents de l’histoire et les cataclysmes de la nature. La belle ingénieure de 23 ans, courtisée par un grand blond et un étudiant guyanais, s’interroge chaque jour un peu plus sur ses origines haïtiennes, sur sa mère qui a dû la confier, elle et sa sœur Christiane à des étrangers, ne gardant auprès d’elle que son fils Siméon aux fréquentations douteuses.



J’ai été sensible à ce concentré d’histoire d’Haïti. L’auteur, Jean-Robert Léonidas est lui-même un enfant du pays. Il est né à Jérémie, lieu où il place l’enfance de Jasmine, son héroïne. Je retiens la magie de la couverture, tellement colorée, avec cette nature tropicale luxuriante, ces hommes et femmes vêtus de couleurs chatoyantes qui se fondent dans le paysage, tout comme ceux qui, en arrière-plan, cheminent vers le groupe et d’autres qui s’adonnent aux travaux des champs ? Cet arbre impressionnant au centre de l’image semble les protéger, est-ce ce Dieu mainte fois évoqué, allié aux dieux du vaudou, qui offre ainsi son abri...? La puissance divine est en grande partie assimilée à la nature. L’auteur fait dire à Siméon :



« C’est pour cela qu’il regarde l’arbre comme un saint élément, un agent sauveur, un puissant protecteur. C’est pour cela qu’il aime le cantique « Comme un arbre planté dans le jardin du bon Dieu... »

La suite est : « le juste fleurira » ! Programme optimiste qui fait peu de place à la volonté humaine pourtant essentielle dans l’histoire.



L’écriture de Jean-Robert Léonidas est troublante. Il donne des pistes intéressantes sur l’histoire du pays. Les chapitres sont courts. On passe très vite sur les grands personnages de l’indépendance haïtienne alors que quelques repères auraient été bienvenus.



D’un côté il y a trop peu d’éléments pour en faire un roman adulte bien charpenté, de l’autre il y en a trop pour un roman jeunesse. Les dialogues manquent de réalisme : les personnages ont une façon identique de s’exprimer et les retrouvailles sont au-delà de l’invraisemblable...



L’histoire est en fait une sorte de conte. Une imagerie charmante, des puissances bénéfiques provoquant les bonnes rencontres au bon moment, sans nier tout à fait la possibilité de mauvaises rencontres – Christiane aux Etats-Unis en est un exemple –. Un livre qui n’est pas sans défaut mais qui a sa petite musique. J’ai aimé des bouquets de mots désignant les fleurs, les lieux : Grand-Anse, Grand-Goâve et Petit-Goâve, les îles Cayemites, la rue du Bois Patate, le quartier du Canapé vert, Mérodé qui se serait formé par aphérèse à partir de (Nu)méro de(ux)... Avec de tels noms, l’auteur n’a pas à chercher, il prend la matière littéraire autour de lui. Est-ce pour cela qu’il y a tant d’écrivains en Haïti ? Le créole, les objets insolites participent à cette fête : les lampes tête-gridap. La musique et le rhum aussi.



Un parti pris d’optimisme qui ne m’a pas déplu, tout compte fait. Une sorte de religion originelle sans le grand Satan, avec le syncrétisme créole donnant une nouvelle couleur poétique. Des dieux accommodants ! Jasmine va finalement retrouver sa mère et la trace de ses deux sœurs et de son frère Siméon. On s’en doute dès le départ et je ne crois pas gâcher la lecture en donnant ces éléments.



Jean-Robert Léonidas, médecin et écrivain, est essayiste, romancier et poète. Il a publié une vingtaine de titres, principalement à Montréal et à Paris, mais aussi en Haïti en collaboration avec d’autres dont Lyonel Trouillot. Il est l’auteur chez Riveneuve du recueil de poésie Rythmique incandescente (2011) et coauteur avec Hélène Tirole de l’essai L’impertinence du mot (2018).



Merci à Babelio et aux éditions Riveneuve pour cette lecture originale, ouvrant une fenêtre sur ce pays, Haïti, dont nous partageons la langue et le goût pour les arts.


Lien : https://clesbibliofeel.blog
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L'impertinence du mot

J’attends de mes lectures qu'elles me tirent vers l’avant, que j’ai hâte d’en apprendre quelque chose, que ce soit du domaine du témoignage, de la réflexion dans un essai ou de l’intrigue d’un roman policier. Ce qui me motive, c’est une forme de curiosité. Quelquefois, ça peu être un peu plus distancié et j’admire alors l’habileté avec laquelle l’auteur arrive à manipuler son lecteur, comment il navigue, par exemple, à la limite de la réalité et de la création dans ce qu’on a coutume d’appeler l’auto-fiction… ici, rien de tout ça et au bout d’une vingtaine de pages peut-être une trentaine, je me suis demandé pourquoi je m’imposais de continuer un livre que je n’avais pas le goût de retrouver et qui me tombait des mains alors même que je n’avais pas sommeil. Non que ce soit mal écrit mais ce qui est écrit ne me parle pas, me semble par trop décousu d’un chapitre à l’autre et même dans un même chapitre. En bref, je m’y suis ennuyée et je n’oserai le recommander à personne.

J’en ai lu assez cependant pour me permettre de n’accorder que trois étoiles, soit une note très moyenne dans mon propre hit-parade.
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L'impertinence du mot

L'impertinence du mot, le genre de livre que l'on va lire lentement pour faire durer le plaisir. Au travers des pages, les mots choisis habilement se succèdent et rend notre lecture agréable. Écris mais également adressé par / aux amoureux des mots. Les deux auteurs échangent via une réflexion qui bien souvent nous fera voyager vers la beauté et la poésie.

Une très belle lecture.

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L'impertinence du mot

Qu’est-ce donc que l’impertinence du mot ? Quelle définition lui donner ?



Présenté comme un dialogue entre une femme du Nord qui interroge les mots et un écrivain du Sud passionné de mots, l’impertinence du mot n’est pourtant pas la correspondance que j’imaginais. Dans cor-respondance, il y a "réponse" et partage ("co-"), ici la communication se fait à sens unique, d’Hélène Tirole qui s’essaie à définir le mot à Jean-Robert Léonidas qui, la lisant, apporte sa contribution, son regard. S’il y a correspondance, c’est uniquement quand le lecteur , qui lit de l’un à l’autre, recrée les liens entre ses textes dont seul le second répond au premier. Mais pourquoi pas ?



Hélène Tirole apparaît alors comme une apprentie qui s’empare de concepts, parfois maladroitement, et Jean-Robert Léonidas comme le maître-mots, celui dont la plume s’autorise à divaguer, à détourner, à faire écho de différentes façons.



Ainsi, convoquant les mots des auteurs, dont on appréciera les citations belles et pertinentes, Hélène Tirole tente d’évoquer les différentes dimensions du mot : ce qu’il est, ce qu’il n’est pas ; le rôle que petits, nous lui avons attribué inconsciemment ; sa pertinence ou sa non-pertinence ; ce qu’il parvient à dire et tout ce qu’il ne dit pas ; ce qu’il éclaire du monde et ce qu’il obscurcit ; l’usage qu’on en fait, plus ou moins consciemment, plus ou moins adroitement ; comment il s’inscrit dans nos vies. Elle compare le mot et la littérature à la musique et dit son amour de la littérature.



Mais ma lecture des textes d'Hélène Tirole a souvent été un peu laborieuse. J'ai éprouvé des difficultés à les comprendre, car la langue de l'autrice se situait à mi-chemin entre la théorie et l'écriture poétique. Le choix des citations était remarquable, mais les réflexions qui les accompagnaient, ne me parlaient pas toujours. Ainsi en a été de "Lire autrement", qui aborde les différents modes de lecture pour parler de la lecture rapide, que l'autrice enseigne. Parfois aussi, je trouvais l'idée insuffisamment approfondie (Il y aurait tant à dire à comparer littérature et musique !) ou le texte sans réel enjeu.



Les mots d'Hélène Tirole mots auraient sans doute couru le risque de rester lettres mortes si Jean-Robert Léonidas n’avait pas écrit en écho. Ses mots à lui montrent dans les faits ce qu’ils disent ; ils transcrivent son regard ; ils transcrivent ce qu’il est entre leurs lignes. Imprégnés du soleil Antillais, de sa faune et de sa flore, de sa musique, de son histoire et de sa posture, ils ajoutent le supplément d’âme auquel n’accède pas, selon moi, Hélène Tirole. Car pour parler des mots et de la littérature, il faut donner de soi.



La langue de Jean-Robert Léonidas est fluide, parsemée de souvenirs, d'impressions, de figures de style : elle nous entraîne à sentir, plutôt qu'à concevoir, à expérimenter, plutôt qu'à théoriser.



Les dessins de Jean-Louis Jacopin, qui ponctuent l'alternance des écrits d'Hélène Tirole et de Jean-Robert Léonidas illustrent à merveille les deux approches des auteurs : la conceptualisation de l'autrice et le rapport sensuel que l'auteur entretient avec les mots et la littérature.







Revenons donc sur le titre, L'impertinence du mot : une sacrée trouvaille ! L'ayant d'abord compris comme une liberté attribuée à l'expression, une liberté de jouer avec les mots, les sons, de détourner les concepts et d'oser dire au mépris du convenable, je me suis rendu compte, au fur et à mesure de ma lecture, que l'ouvrage montrait plutôt le manque de pertinence du mot, qui tel un outil imparfait mais qu'on adore utiliser, ne parvient à exprimer que de manière ambiguë et partielle notre rapport à nous-mêmes, aux autres et au monde. Si impertinence il y a (au sens audacieux du terme), elle se situe dans la posture de Jean-Robert Léonidas, qui répond à la prose d'Hélène Tirole, en faisant un pas de côté.
Lien : https://lacuriositheque.blog..
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L'impertinence du mot

Hélène Tirole et Jean-Robert Léonidas évoquent ici le mot dans toute sa dimension de manière sérieuse, légère mais aussi avec coeur et grande considération. Ce sont deux univers qui s'interrogent, se répondent et se rejoignent dans et autour de la beauté, de la langue, du phrasé.



Dans une réflexion consentie, digérée, studieuse, libérée, ils nous écrivent ce que le mot n'a pas fini de nous raconter. Il y a une énergie, du rythme et de la mesure qui prend son envol pour nous amener à piquer la surface, pour sonder plus en profondeur...



Ces amoureux des lettres définissent à l'infini et déroulent l'élément du dicible, en se concentrant sur l'invisible. Le mot est au début, celui qui amorce les liens et ouvre la porte des possibles. On assiste à un tour de force poétique, amusant, émouvant, sincère pour tous les conquis de littérature. Il y a impertinence dans ce qui tend le mot et ce qu'il sous-entend. Nous glissons vers un horizon sensible dans l'essence du mot, sa présence, son aspect abstrait-concret, son sens commun à chercher, à définir sans trahir, mais plutôt accomplir, agrandir...



Le mot étonne, détonne, stimule et réalise nos pensées fluides en modelage "créactifs". On ne s'en laisse pas douter...
Lien : http://www.sophiesonge.com/a..
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Comme un arbre planté dans le jardin du bon D..

#Chronique pour les Editions Riveneuve​ et Jean-Robert Léonidas : Comme un arbre planté dans le jardin du bon Dieu ➡ ❤❤/5



👉J'ai choisi de lire "Comme un arbre planté dans le jardin du bon Dieu" lorsque je l'ai découvert dans la liste de la dernière masse critique sur le site Babelio. C'est d'abord la couverture qui m'a attirée, puis le résumé que j'ai trouvé déjà très touchant puisqu'il évoque le sujet de l'adoption.

C'est donc avec quelques attentes que je me suis plongée dans ce roman écrit par Jean-Robert Léonidas (au auteur qui était jusqu'ici inconnu pour moi) et publié aux Éditions Riveneuve.

👉Pour lire la suite de mon avis, c'est ICI : http://www.leslecturesdelily.com/2022/02/comme-un-arbre-plante-dans-le-jardin-du.html#more



💬C’est pour cela qu’il regarde l’arbre comme un saint élément, un agent sauveur, un puissant protecteur. C’est pour cela qu’il aime le cantique « Comme un arbre planté dans le jardin du bon Dieu...



{Jasmine vit une adoption réussie auprès d’un couple de Français aisés qui lui offrent amour, protection et avenir tout tracé. Mais la belle ingénieure de 23 ans, courtisée par un grand blond et un étudiant guyanais, s’interroge chaque jour un peu plus sur ses origines haïtiennes, sur sa mère qui l’aurait donnée comme elle a confié ses deux autres enfants à des étrangers. À la mort de ses parents adoptifs, Jasmine décide de faire le voyage à la recherche de ses racines, dans ce territoire qu’elle ne connaît pas, battu par les vents de l’histoire et les cataclysmes de la nature. Le séjour promet d’être tumultueux, entre une maman qui vit dans une maison close, un frère aux fréquentations douteuses, une sœur qui a connu l’enfer à New York…

Un roman initiatique dans une langue mélodieuse qui illustre qu’à vaillant cœur, rien n’est impossible.}



#commeunarbreplantédanslejardindubondieu #jeanrobertleonidas #editionsriveneuve #leslecturesdelily #avislecture


Lien : http://www.leslecturesdelily..
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Comme un arbre planté dans le jardin du bon D..

L’écrivain haïtien Jean-Robert Léonidas publie Comme un arbre planté dans le jardin du bon Dieu aux Éditions Riveneuve. Le thème du retour au pays et, par extension, aux origines, n’est pas nouveau chez ce professeur de médecine et écrivain, longtemps expatrié à New York et revenu depuis quelque temps dans son pays d’origine. Il l’a déjà traité dans ses précédents romans, ce dernier insistant, comme il fallait s’y attendre, au besoin intérieur de ce geste et à ses capacités régénératrices. En suivant le périple de Jasmine Deschâtaignes, adoptée par un couple de parisiens et retournée vingt ans plus tard à Jérémie dans les terres qui l’ont vue naître, Jean-Robert Léonidas nous livre une vraie plaidoirie en faveur de la capacité régénératrice du retour aux sources.
Lien : https://lettrescapitales.com..
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Comme un arbre planté dans le jardin du bon D..

Présentation par Philippe Seltz*

Comme un arbre planté dans le jardin du bon Dieu

Le nouveau roman de Jean-Robert Léonidas. Riveneuve, Paris Janvier 2022

De quoi s’agit-il ?

Une famille haïtienne éclatée de toutes parts, avec une fillette de trois ans donnée en adoption à un vieux couple de Français en mal d’enfant ; et qui devient une belle jeune fille parfaitement éduquée que les circonstances invitent à retrouver ses origines. Un retour dans une Haïti populaire où la prostitution est marque de position sociale, des retrouvailles qui sont autant de signes d’un nouveau bonheur, le tout dans une langue allant du plus délicat à l’acéré le plus aigu, dans un chatoiement de couleurs, de parfums et de sensations, reflets de la vie grouillante d’un peuple à la fois amical et hors du temps. La prose savante et travaillée du poète Jean-Robert Léonidas décrit à merveille la complexité de l’âme haïtienne, ses retournements aussi soudains que fugaces et le bonheur dans le malheur qui semble une constante de ce pays fascinant, où la vie ne tient parfois qu’à un fil. Quasiment une invitation au voyage.

*Philippe Selz est diplomate et auteur.

Ancien chargé d’affaire et ambassadeur en Haïti (1992-95)

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Comme un arbre planté dans le jardin du bon D..

J'ai reçu ce livre via la Masse Critique de Babelio. La 4eme de couverture m'avait laissé entrevoir un roman à émotions sur un sujet qui me touche tout particulièrement, celui de l'adoption.

Je ne connaissais ni l'auteur (un médecin) ni la maison d'édition. J'avais hâte d'être surprise par l'un comme par l'autre.

Malheureusement, la surprise est plutôt négative.

J'ai vécu 3 moments lors de cette lecture.

1_ j'ai été désarçonnée par le début. Je me suis perdue dans la temporalité qui n'est pas claire. Je me suis posé la question de savoir si le roman avait été relu et corrigé avant édition tant les redites sont nombreuses. les chapitres sont tres courts et nous parlent d'événements qui ont été déjà évoqués au chapitre précédent. Le narrateur serait-il amnésique ? A moins que ce ne soit un effet de style?

2_ Ce n'est pas le style. A un moment, le roman reprend une forme classique et reprend l'histoire. On suit Jasmine, puis Clémentine, puis Siméon et enfin Christiane. Là, je passe un bon moment de lecture, je m'attache un peu plus aux personnages. Il y a quelques particularités stylistiques que je trouve malheureuses mais elles ne gâchent pas ma lecture.

3_ Et puis, lentement, le roman dérive. ***Attention, je vais spoiler***

Aux deux tiers du roman, nous passons à une visite d'Haïti façon guide touristique qui précède un amoncellement de fait plus du tout crédibles : Jasmine et Roger se font kidnapper dans un bus par qui ? Par Siméon qui reconnaît presque cette soeur qu'il n'a jamais connu. Mais comme c'est pratique ! Siméon emmène Jasmine directement voir sa mère qui se retrouvent comme si de rien n'était. C'est sûr qu'être donnée pour adoption et revenir 20 ans après, c'est comme si c'était de longues vacances ! Sérieusement !!! L'auteur nous prendrait-il pour des idiots ?

Et cette mère, prostituée, est si contente de voir sa fille qu'elle paye des billets d'avion pour retourner dans leur village....

Bref, vous l'aurez compris, ce roman nous donne à croire que l'auteur va nous parler de la recherche des origines après une adoption mais il n'en est rien. Je reconnais à l'auteur qu'il connait parfaitement les rues de Port-au-Prince et les routes d'Haïti (que je ne connais pas du tout, ça ne m'a donc pas parlé). Il est également friand de description végétales mais en dehors de ça, pitié, pensez aux lecteurs qui sont touchés par ce sujet.

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Je déconseille fortement cette lecture aux candidats à l'adoption ainsi qu'aux adolescents adoptés en recherche d'origine et questionnement d'identité. C'est une histoire, pas la réalité.

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J'aurais aimé remercier la maison d'édition mais je ne comprends pas leur choix editorial.

Je ne peux que remercier Babelio qui m'a proposé la lecture de cette ouvrage. J'avais envie de le lire, je l'ai reçu gratuitement et je n'ai donc pas à regretter les 18€ que j'aurais pu dépenser.
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