Ce serait se tromper, déclare Binswanger, que de croire que le thème mélancolique « prend une place telle qu’il ne laisse plus d’autre espace pour quelque chose d’autre ». […] Le thème n’est pas permanent, il est même interchangeable, c’est « l’isolement du pouvoir de souffrir », à l’écart des possibilités existentielles du Dasein, qui est le phénomène prédominant.