Un livre qui n'est plus édité, et c'est bien regrettable, car les conseils ainsi que les analyses données y sont le plus souvent pleins de bon sens, qualité dont manquent parfois la médecine moderne.
Les grands laboratoires veillant au grain.
En exemple : pour soigner une gastrite chronique, avant les conseils en phyto, et les examens nécessaires de surcroit, la première recommandation donnée formellement dans l'ouvrage est "du calme à vie".... La médication n'est alors qu'une béquille.
Du bon sens, je vous dis...
Commenter  J’apprécie         113
Le livre a été imprimé en 1981... J'ose espérer que ce n'est plus vraiment d'actualité... Ce livre m'a laissée songeuse.... J'ai de plus en plus de mal à faire confiance à la médecine telle qu'elle est pratiquée de nos jours... Et cela me fait poser des questions surtout concernant les greffes d'organes...
Voici ci-dessous 2 extraits des additifs de ce livre :
"en pratique, contrairement à ce que pensent les gens, ce n'est pas en donnant l'autorisation de se faire prélever des organes que l'on peut être disséqué, mais bien qu'on le sera peut-être automatiquement si l'on a négligé de le refuser par écrit"
Dans la pratique, la majeure partie des hospitalisés en état de mort apparente reste exposée au risque de faire l'objet d'un diagnostic de mort subjectif, et dépendant en fait essentiellement de l'appréciation des médecins et de leur besoin en organe à transplanter ; or ce diagnostic est incompatible avec les réalités médicales actuelles. Et à plus forte raison, les diagnostics de mort prononcés en dehors du milieu hospitalier, (22 % des cas), risquent d'être faussés non seulement en raison de l'impossibilité de procéder aux vérifications, (quoique pas toujours probantes), assurées par des appareils spéciaux mais aussi du fait que - sauf s'il s'agit de "mort suspecte", autrement dit de celle qui semble d'origine criminelle - la législation actuelle se contente encore de l'avis d'un seul médecin.
Commenter  J’apprécie         10