Il avait toujours nourri un certain mépris pour le père d'Art, un pauvre raté qui avait abandonné femme et enfant. Il lui était maintenant reconnaissant d'une chose : d'avoir au moins donné son nom à Art. Dans un jour ou deux, quand l'histoire arriverait dans les journaux, le nom de Mike, le nom de ses gamins, ne serait pas sali.