L’odeur fut la première chose que je remarquai.
Ce parfum de musc scandaleusement sombre et légèrement sucré mit mes sens en émoi. Mes doigts se crispèrent sur mon stylo, et l’atmosphère de la salle changea. La tension s’allégea.
C’était la première fois que je m’en rendais compte, mais quand Roth était là, il apportait une ambiance de dernier jour avant les vacances, un sentiment indolent de je-m’en-foutisme général qui le suivait partout.