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Citations de Jennifer L. Armentrout (1538)


- Je suis persuadé que les personnes les plus belles, aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur, sont celles qui n'ont pas la moindre idée de leur charme.

Ses yeux cherchèrent les miens avec intensité.


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La mort est comme une vieille amie. Parfois, tu ne l'attends pas, mais parfois, si. Ce n'est ni la première fois, ni la dernière qu'elle viendra te rendre visite mais ça ne rend pas les disparitions moins difficiles ni impitoyables.
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Beau visage. Corps parfait. Caractère de cochon. C’était un peu la sainte trinité du mec canon.
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« - Tu veux sortir avec moi ? demanda-t-il en se passant une main dans les cheveux.
- Non, chuchotai-je.
Puis sa fossette apparut, et je relâchai le souffle que je retenais. Il reprit son ascension.
- Demain est un autre jour.
Je lui emboitai le pas.
- La réponse sera toujours la même.
- On verra.
- C’est tout vu. Tu perds ton temps.
- Tant que cela te concerne, il n’y à pas de perte de temps, répliqua-t-il.
Puisqu’il me tournait le dos, il ne put me voir sourire. Je me détendis. Je me réchauffai. Tout était redevenu normal avec Cam, rien n’avait changé. »
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- Question suivante, exigea-il.
- Pourquoi es-ce que tu es un connard ?
- Tous le monde excelle dans un domaine, pas vrai ?
- Et tu fais du très bon boulot.
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"I don't know. I mean we haven't talked about it. He literally left afterward, and all he's done since then is poke me with his pen."
"Probably because he wants to poke you with someting else", she said dryly.
My eyes bugged. "I can't believe you said that."
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— Chut, dit-il en me recoiffant. Même si j’ai passé un très bon moment à te regarder vomir tripes et boyaux, tu sais très bien que je ne suis pas resté pour ça.
Je fermai de nouveau les yeux, légèrement dans les vapes.
— C’est parce que tu as envie de moi, mais pas quand je suis bourrée et que je gerbe partout ?
Cam éclata de rire.
— Ouais, voilà, c’est à peu près ça.
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« Je ne pense pas qu'il voulait m'embrasser, dis-je finalement.
- Quoi ? Il a glissé et est tombé sur ta bouche ? Ces choses là sont connues pour arriver souvent, c'est clair.»
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Maman... elle ne vivait qu'à moitié.
Elle travaillait beaucoup, rentrait, travaillait encore, dînait et allait se coucher. Et c'était comme ça tous les jours. C'était sa moitié de vie.
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Je t'en prie. Pitié.Je ne peux pas te perdre. S'il-te-plaît, ouvre les yeux. Ne m'abandonne pas.
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« − Où étais-tu ? demandai-je d’une voix qui avait l’air désespérée à mes propres oreilles.
[…]
− Salut, chérie, je suis allé boire et voir les putes. Je sais, je n’ai pas le sens des priorités.
Sa réponse sarcastique ne me fit pas rire.
− Connard, marmonnai-je. »
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Et je ne lis pas trop. On ne peut pas trop lire, c'est impossible.
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Il haussa les épaules.
- Suis-moi. Allons marcher un peu.
Je l’observai avant de considérer ma robe.
- il est un peu tard, tu ne crois pas ?
- Je réfléchis et je m’exprime plus clairement quand je marche. (il me tendit la main) Sinon, je me transforme en super salaud et je sais que tu n’aimes pas beaucoup cette facette de ma personnalité.
- Ah, ah.
J’examinai sa main tendue. Mon cœur s’était subitement emballé.
- En tout cas je ne te prendrai pas la main.
- Pourquoi pas ?
- On ne va pas se tenir par la main alors que je ne t’apprécie même pas.
- Aie. (Il se toucha la poitrine en grimaçant). Tu me blesses.
Mouais. Il fallait qu’il prenne des cours de comédie.
- Rassures-moi, tu ne compte pas m’abandonner dans les bois ?
- ça serait la vengeance parfaite, mais je ne ferai jamais ça. Je doute que tu survivrais très longtemps sans quelqu’un pour venir te sauver.
- Merci pour la confiance, ça fait plaisir.
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Oh, grand Dieu... Sa paume se trouvait sous mon nombril, orientée vers le sud, et ses doigts reposaient sur l'élastique de mon pantalon de yoga. La main était proche, très proche, de la terra incognita.
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J’allais avoir besoin de nombreuses calories pour supporter le tour pris par cette discussion.

Brittany acquiesça.

— Ça se tiendrait. Ça expliquerait qu’il ne veuille pas partager ses cookies avec une fille moche.

— Je ne pense pas que c’est ce qu’il avait en tête, tempérai-je en continuant mon grignotage. Bon, revenons-en à nos notes d’histoire…

— On s’en tape de l’histoire. Revenons-en à la bite de Cam, insista Jacob. Tu as conscience que si « cookies » est un nom de code pour dire « bite », cela signifie que tu as mis la sienne dans ta bouche ?

Je m’étouffai sur ma chips et avalai de grandes lampées de soda pour faire couler le tout. J’étais écarlate.

— Au sens figuré, bien sûr, précisa Jacob en souriant comme un benêt. (Il se releva d’un bond.) Je ne sais pas comment tu fais, Avery. Si j’habitais en face de chez lui, je serais posté devant sa porte de midi à minuit. Et je réclamerais sans arrêt ses cookies. Miam.

Je secouai la tête en agitant une main devant mon visage.
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- Si tu la touches encore une fois, je...
-Tu quoi ? rétorqua Blake, les yeux plissés. Qu'est ce que tu comptes faire, Daemon ?
J'attrapais Daemon par l'épaule pour le tirer en arrière. Il ne bougea pas d'un millimètre.
- S'il te plaît, Daemon. Lâche-le.
- Tu veux savoir ce que je te ferais ? ( le corps de Daemon se crispa tout entier sous ma main) Tu vois où sont ta tête et ton cul ? Eh bien, ils risqueraient de se rencontrer intimement.
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Daemon attendait ma réponse.

— Tu peux toujours rêver, mon pote. (Je fis un pas vers lui en levant un doigt.) Même si tu étais le dernier… Hé ! Je ne peux même pas dire « le dernier homme sur terre » !

— Kitten, murmura-t-il doucement avec une lueur de menace dans le regard.

Je n’y prêtai pas attention.

— Pas même si tu étais la dernière chose qui ressemble à un humain sur Terre. Compris ? Capiche ?

Quand Daemon inclina légèrement la tête, ses cheveux lui tombèrent sur le front. Il sourit. La façon dont ses lèvres s’étaient soulevées était inquiétante, mais j’étais incapable de m’arrêter.

— En plus, je ne suis pas attirée par toi. (Mensonge. Ding ! Ding ! Mensonge.) Pas du tout. Tu es…

Daemon apparut soudain en face de moi, à quelques centimètres de mon visage.

— Je suis quoi ?

— Un attardé, répondis-je en reculant.

— Quoi d’autre ?

Il avança à son tour.

— Tu es arrogant. Manipulateur. (Je fis un autre pas en arrière, mais il empiétait toujours sur mon espace vital.) Et tu… tu es un salaud.

— Oh, je suis sûr que tu peux faire mieux que ça, Kitten.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/
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Lorsque les gens disparaissaient sans explications, cela signifiait généralement qu'ils avaient un nouveau code postal. Un truc du genre 666, (...)
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Ne faites confiance à personne dans cette histoire. Chacun a beaucoup trop à perdre ou à gagner.
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Les couverts et les verres apparurent de plusieurs placards ouverts. Le vin de ma mère vola du frigo et se versa dans deux flûtes en cristal. Daemon se tenait au milieu de tout ça.
J'avais l'impression de regarder La Belle et la Bête. J'attendais que la théière se mette à chanter.
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