La vie n’était pas un glaçage : on ne pouvait pas simplement l’etaler Sur les craquelures pour enjoliver le gâteau et espérer que personne ne le remarquerait. La vie ne marchait pas ainsi. Au lieu de cela, les craquelures s’elargissaientsous le glaçage et puis, un jour, la fêlure devenait trop sérieuse pour être guérie.