Il avait les mains calleuses de cow-boy, de travailleur, mais il m’a touchée avec une infinie douceur, comme si j’étais un objet de porcelaine qu’il craignait de briser. J’étais sûre que c’était sa première fois. Il explorait mon corps avec tant d’amour, presque avec révérence, que j’en ai eu les larmes aux yeux et l’envie de m’abandonner totalement. De toute ma vie, je ne crois pas avoir autant désiré un homme. (page 196)