En rentrant du collège, ce jour-là, assise sur la mobylette d'oncle Blabla, même si j'ai mal aux fesses et que le chemin n'en finit pas sous le soleil qui devant nous rougeoie, je suis convaincue que le monde m'appartient. J'ignore encore que je me trompe et que c'est moi qui depuis ma naissance, lui appartiens.