Les éléments les plus manifestes et tangibles d'une dictature étaient donc bien réunis et pourtant l'on a rien vu, en France, ni en Europe, ce qui était. On n'a pas voulu voir, et l'on n'a pas voulu non plus prononcer ce mot: "dictature".
Si l’on s’arrête sur le versant "pied-noir" de cette histoire, on ne peut sans doute pas assurer que l’histoire émergente du pataouète et des parlers français coloniaux s’inscrit en totale continuité avec la langue franque et le sabir.